El ojo vestido de una arpa azul se agarra al gran mástil / separada por el silencio una catedral despega / asi como notas de aves aromas de deseo se esconden bajo la almohada / una estrella come el sol al tenedor
l'oeil vêtu d'une harpe bleue s'accroche au grand mât /détachée du silence une cathédrale s'envole / comme des notes d'oiseaux des bouquets de désir se cachent sous l'oreiller / une étoile mange le soleil à la fourchette
2 comentarios:
Nous érigeons des formes cathédrales pour y arquer nos amours.
Projection de soi dans l’autre.
Nous inventons des harmoniques de bleu convaincues que nos oraisons, nos prières secrètes formeront boucliers.
Nous persistons, nous tentons inlassablement de superposer nos désirs à l’humaine réalité.
Nous échafaudons des architectures du vide grouillantes d’images inventées de toute pièce. Tout se fond, se confond.
Pourtant, il suffit parfois de lever la tête pour accrocher à l’œil un peu de lumière.
El ojo vestido de una arpa azul se agarra al gran mástil / separada por el silencio una catedral despega / asi como notas de aves aromas de deseo se esconden bajo la almohada / una estrella come el sol al tenedor
l'oeil vêtu d'une harpe bleue s'accroche au grand mât /détachée du silence une cathédrale s'envole / comme des notes d'oiseaux des bouquets de désir se cachent sous l'oreiller / une étoile mange le soleil à la fourchette
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