Imagenes de vida
Et que les ombres tracent des lumières où se posent successivement les fenêtres qu’on accepte de prendre dans le creux de la main. Y regarder. S’y faufiler. Quelle belle oeuvre!
C'est un trou de lumière d'où s'échappe le blanc secret du jour /la robe d'une fenêtre et la roue du silence / comme la bouche ouverte du temps sous la langue du fleuve
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Et que les ombres tracent des lumières où se posent successivement les fenêtres qu’on accepte de prendre dans le creux de la main.
Y regarder. S’y faufiler.
Quelle belle oeuvre!
C'est un trou de lumière d'où s'échappe le blanc secret du jour /la robe d'une fenêtre et la roue du silence / comme la bouche ouverte du temps sous la langue du fleuve
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